Livre Les Secrets des Méga-Illusions - Gilles Arthur
Dans son livre et pour la première fois, Gilles Arthur vous raconte tout sur ses « Méga-Illusions ».
Il y révèle son cheminement intellectuel, ses états d’âme et ses secrets.
En se livrant sans retenue dans cet ouvrage, il y apporte toute sa générosité et tout l’amour qu’il porte à la magie.
SOMMAIRE :
Lévitation de l’Hôtel de Ville de Gagny
Devant des milliers de spectateurs ébahis, la mairie de Gagny, un imposant bâtiment en pierres de taille, long de 30 m, large de 20 et haut de 16 mètres, décolle et flotte en totalité dans les airs à plus d’un mètre de hauteur ! Un grand moment de magie dont la plupart des téléspectateurs se souviennent encore !
La disparition du fourgon de pompiers
Au beau milieu d’un stade de football, devant des milliers de personnes, Gilles Arthur fait disparaître un fourgon de pompiers de plus de 10 tonnes. La réapparition du fourgon aura lieu quelques instants plus tard à l’endroit même qu’il avait quitté pour se rendre au milieu du stade !
La téléportation d’une demi-douzaine de person-nes !
Une première cabine vide est soulevée par une grue à plusieurs mètres de hauteur. Un groupe de 5 ou 6 personnes volontaires entre dans une deuxième cabine, qui sera, elle aussi soulevée à plusieurs mètres du sol. Explosion : la cabine se disloque : plus personne n’est là. On descend la première cabine et les personnes qui venaient de disparaître y refont une réapparition des plus spectaculaires ! Impressionnant !
La traversée du mur de briques !
Gilles Arthur, enfourchant une moto de forte puissance, fonce vers un mur de briques… qu’il traverse aussitôt sans encombres. A la fin de l’expérience le mur est démoli sous les yeux des spectateurs. Que des pierres et du ciment ! Comment diable l’artiste a-t-il pu passer au travers de cette muraille de briques ? Phénomène de dématérialisation instantanée ou simple tour de passe-passe ?
Disparition d’un fourgon de police
Gilles Arthur conduit une superbe Ferrari rouge. Un peu trop vite ? Toujours est-il qu’il se fait arrêter par des agents de police. Papiers S.V.Pl. etc… Bigre : le permis n’est pas en règle. Interdiction de rouler… Pour se venger Gilles - qui à l’origine avait l’intention de faire disparaître la Ferrari - décide de faire disparaître policiers, fourgon y compris ! Aussitôt dit, aussitôt fait. Tous les représentants de l’ordre ainsi que leur véhicule s’évaporent dans l’espace. Et Gilles peut continuer à profiter de sa Ferrari. Mais au moment de démarrer il s’aperçoit que sa voiture est immobilisée par un sabot (de Denver). Ouf ! La morale est sauve.
Petit hélicoptère deviendra grand grâce à un rayon magique
Un petit hélicoptère téléguidé évolue dans les airs avant d’atterrir à quelque distance de la caméra et des spectateurs. Un léger paravent recouvre durant quelques instants la maquette de l’hélicoptère avant d’être retiré. Incroyable : c’est à présent un véritable hélicoptère qui a pris la place du modèle réduit ! Pour finir Gilles Arthur décolle et vole avec l’hélicoptère qui vient d’apparaître à quelques mètres du public !
Sous les roues du train !
Gilles est ligoté à l’intérieur d’un caisson lui-même posé en travers des rails de chemin de fer. Au loin une locomotive démarre. Gilles arrivera-t-il à se libérer avant que la Micheline ne le percute à toute allure et le réduise en charpie ? Oh que non ! Ce qui devait arriver, arriva ! La locomotive percuta le caisson qu’elle réduisit en miettes. Frayeur du public ! Et Gilles Arthur, où est-il ? Celui-ci, l’œil plein de malice descend du train qu’il avait conduit lui-même !!! Comment diable avait-il pu se libérer en si peu de temps pour se substituer au conducteur du train ?
Le cabanon transformé en luxueuse maison !
Au milieu de nulle part Gilles rencontre l’habitant d’un modeste cabanon de jardin. Aimeriez-vous vivre dans une luxueuse demeure ? lui demande le magicien. Ben, oui, répond le pauvre hère ! On relève un rideau devant la hutte. Sim, Sala Bim et après avoir laissé retomber le rideau, le public découvre une superbe maison où il fait bon vivre. Pour preuve, Gilles, accompagné par l’habitant du cabanon et la caméra, y pénètrent et y découvrent un intérieur de rêve ! N’oubliez pas : toute la scène s’est déroulée en direct devant un parterre de spectateurs !
Peut-on plier un réverbère ?
La réponse est : oui ! Et Gilles Arthur en apporte la preuve. Sur les quais de la Seine il s’approche d’un réverbère. Sous l’intense action cérébrale de l’artiste le réverbère, qui - rappelons-le, est en métal ! - se tord lentement au point de former quasiment un angle droit !
Une vache peut-elle voler ?
Là aussi la réponse est positive. Dans la cour d’une école vétérinaire des environs de Paris, Marguerite (c’est le nom de la vache !) reste en suspension éthérée comme soustraite à l’attraction terrestre.
Disparition à l’explosif !
Gilles Arthur solidement ficelé, rentre à l’aide d’un escalier pliant, dans une caisse qui est aussitôt hélitreuillé à l’aide d’une grue à plus de 10 mètres de hauteur. Puis la caisse explose en mille morceaux. Où est Gilles ? A-t-il pu s’échapper à temps ou a-t-il été pulvérisé par l’explosion ? Le public en est encore à réfléchir à la question que l’artiste lui fait de grands signes amicaux au sommet de la grande échelle de pompier disposée là au titre de la sécurité !!!
Ashra : une disparition fantomatique d’une voiture.
Gilles présente le prototype d’une nouvelle voiture. L’automobile (qui roule réellement) est recouverte d’une grande pièce de tissu. Puis elle s’élève dans les airs, monte, monte encore puis redescend à mi-hauteur. Tout à coup l’artiste retire la pièce de tissu et, que vous le croyiez ou non, l’automobile a disparu. Corps et biens ! Public et téléspectateurs n’en croient pas leurs yeux car bien entendu le tout a été filmé en direct !
La disparition de la Tour Eiffel !
Le public s’installe en face de la Tour Eiffel sur l’esplanade du Trocadéro. Les caméras aussi. La tour est là, illuminée de mille feux. Une grande ardoise est disposée entre la tour et le public. Sur cette ardoise figure un croquis à la craie de la tour. On efface le dessin puis on retire l’ardoise. Incroyable : la Tour Eiffel a disparu. Là, où il y a quelques instants encore brillait le célèbre monument, il n’y a plus rien. Que le noir de la nuit de Paris !
Le corps sectionné.
Gilles Arthur se trouve dans un étrange appareil, le corps entouré d’une sorte de tonneau. Tout autour de ce dernier, il n’y a rien. Deux lames coupent le corps de l’artiste dont la partie supérieure se détache à vue de la partie inférieure. Puis les deux parties sont remises en contact et les lames écartées. Et l’artiste ressort intact du cylindre dans lequel il se trouvait.
Reviews
Très bon livre sur le principe mais je pense que les explications pourraient être plus nombreuses et surtout plus claires. Sinon je le recommande tout de même.